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Dimanche 25 juillet 2010 – 17e dimanche du Temps Ordinaire

Gn 18, 20-32
Les trois visiteurs d’Abraham allaient partir pour Sodome. Le Seigneur dit : « Comme elle est grande, la clameur qui monte de Sodome et de Gomorrhe ! Et leur faute, comme elle est lourde ! Je veux descendre pour voir si leur conduite correspond à la clameur venue jusqu’à moi. Si c’est faux, je le reconnaîtrai. »
Les deux hommes se dirigèrent vers Sodome, tandis qu’Abraham demeurait devant le Seigneur.
Il s’avança et dit : « Vas-tu vraiment faire périr le juste avec le pécheur ? Peut-être y a-t-il cinquante justes dans la ville. Vas-tu vraiment les faire périr ? Est-ce que tu ne pardonneras pas à cause des cinquante justes qui sont dans la ville ? Quelle horreur, si tu faisais une chose pareille ! Faire mourir le juste avec le pécheur, traiter le juste de la même manière que le pécheur, quelle horreur ! Celui qui juge toute la terre va-t-il rendre une sentence contraire à la justice ? » Le Seigneur répondit : « Si je trouve cinquante justes dans Sodome, à cause d’eux je pardonnerai à toute la ville. »
Abraham reprit : « Oserai-je parler encore à mon Seigneur, moi qui suis poussière et cendre ? Peut-être, sur les cinquante justes, en manquera-t-il cinq : pour ces cinq-là, vas-tu détruire toute la ville ? » Il répondit : « Non, je ne la détruirai pas, si j’en trouve quarante-cinq. »
Abraham insista : « Peut-être en trouvera-t-on seulement quarante ? » Le Seigneur répondit : « Pour quarante, je ne le ferai pas. »
Abraham dit : « Que mon Seigneur ne se mette pas en colère, si j’ose parler encore : peut-être y en aura-t-il seulement trente ? » Il répondit : « Si j’en trouve trente, je ne le ferai pas. »
Abraham dit alors : « Oserai-je parler encore à mon Seigneur ? Peut-être en trouvera-t-on seulement vingt ? » Il répondit : « Pour vingt, je ne détruirai pas. »
Il dit : « Que mon Seigneur ne se mette pas en colère : je ne parlerai plus qu’une fois. Peut-être en trouvera-t-on seulement dix ? » Et le Seigneur répondit : « Pour dix, je ne détruirai pas la ville de Sodome. »

Ps 137 (138), 1-2a, 2bc-3, 6-7ab, 7c-8
De tout mon coeur, Seigneur, je te rends grâce :
tu as entendu les paroles de ma bouche.
Je te chante en présence des anges,
vers ton temple sacré, je me prosterne.

Je rends grâce à ton nom pour ton amour et ta vérité,
car tu élèves, au-dessus de tout, ton nom et ta parole.
Le jour où tu répondis à mon appel,
tu fis grandir en mon âme la force.

Si haut que soit le Seigneur, il voit le plus humble ;
de loin, il reconnaît l’orgueilleux.
Si je marche au milieu des angoisses, tu me fais vivre,
ta main s’abat sur mes ennemis en colère.

Ta droite me rend vainqueur.
Le Seigneur fait tout pour moi !
Seigneur, éternel est ton amour :
n’arrête pas l’oeuvre de tes mains.

Col 2, 12-14
Frères, par le baptême, vous avez été mis au tombeau avec lui, avec lui vous avez été ressuscités, parce que vous avez cru en la force de Dieu qui a ressuscité le Christ d’entre les morts. Vous étiez des morts, parce que vous aviez péché et que vous n’aviez pas reçu de circoncision. Mais Dieu vous a donné la vie avec le Christ : il nous a pardonné tous nos péchés. Il a supprimé le billet de la dette qui nous accablait depuis que les commandements pesaient sur nous : il l’a annulé en le clouant à la croix du Christ.

Lc 11, 1-13
Un jour, quelque part, Jésus était en prière. Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda : « Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean Baptiste l’a appris à ses disciples. »
Il leur répondit : « Quand vous priez, dites :’Père,que ton nom soit sanctifié,que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour. Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes nous pardonnons à tous ceux qui ont des torts envers nous. Et ne nous soumets pas à la tentation.’ »
Jésus leur dit encore : « Supposons que l’un de vous ait un ami et aille le trouver en pleine nuit pour lui demander : ‘Mon ami, prête-moi trois pains : un de mes amis arrive de voyage, et je n’ai rien à lui offrir.’ Et si, de l’intérieur, l’autre lui répond : ‘Ne viens pas me tourmenter ! Maintenant, la porte est fermée ; mes enfants et moi, nous sommes couchés. Je ne puis pas me lever pour te donner du pain’, moi, je vous l’affirme : même s’il ne se lève pas pour les donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera tout ce qu’il lui faut. Eh bien, moi, je vous dis : Demandez, vous obtiendrez ; cherchez, vous trouverez ; frappez, la porte vous sera ouverte. Celui qui demande reçoit ; celui qui cherche trouve ; et pour celui qui frappe, la porte s’ouvre. Quel père parmi vous donnerait un serpent à son fils qui lui demande un poisson ? ou un scorpion, quand il demande un oeuf ? Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus le Père céleste donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux qui le lui demandent ! »

Homélie

es disciples viennent de contempler leur Maître en train de prier et un d’eux se risque à lui demander : « Seigneur apprends-nous à prier, comme Jean-Baptiste l’a appris à ses disciples. »

Nous aussi, nous nous sommes sans aucun doute heurtés souvent à cette difficulté de savoir comment prier. Les premiers mots de la réponse de Jésus sont ici très importants car ils donnent la tonalité de tout ce qui va suivre. « Quand vous priez, dites : ‘Notre Père…’ ». Jésus invite ses disciples à tourner leur regard vers le Père. Jésus n’est pas en train de leur apprendre une formule à réciter mais de leur dire que prier c’est d’abord et avant tout entrer en relation avec Dieu. Jésus leur révèle ici que la prière qui, depuis l’aube des temps, accompagnait l’histoire du salut comme un appel réciproque entre Dieu et l’homme, trouve en lui son accomplissement. En Lui, l’appel de Dieu trouve la réponse de l’homme et le cri de l’homme trouve le cœur rempli de compassion de Dieu. En lui, la soif de Dieu rencontre la soif de l’homme. En nous enseignant à prier « Notre Père », Jésus nous révèle ainsi le mystère de notre salut : en lui, l’Alliance entre Dieu et l’homme, brisée par le péché de ce dernier, se trouve restaurée.

Jusqu’à la venue du Fils de Dieu sur la terre, la prière de l’homme prit souvent la forme d’un drame : drame de l’épreuve de la foi en la fidélité de Dieu à son Alliance. La première lecture de ce jour l’illustre de façon tout à fait significative. Depuis l’épisode du chêne de Mambré où Dieu lui a confié son dessein, Abraham se trouve accordé à la compassion de son Seigneur envers les hommes. Aussi, devant la situation de péché dans laquelle se trouve Sodome, il ose intercéder auprès de Dieu : « Vas-tu vraiment faire périr le juste avec le pécheur ? Peut-être y a-t-il cinquante justes dans la ville. Vas-tu vraiment les faire périr ? Est-ce que tu ne pardonneras pas à cause des cinquante justes qui sont dans la ville ? » Et de continuer de marchander avec Dieu jusqu’à lui obtenir la promesse de ne pas détruire la ville de Sodome s’il ne s’y trouve que dix justes. Le problème c’est que Dieu n’a jamais dit qu’il voulait détruire Sodome. En effet, le texte biblique rapporte seulement ces paroles de Dieu à Abraham : « Comme elle est grande, la clameur qui monte de Sodome et de Gomorrhe ! Et leur faute, comme elle est lourde ! Je veux descendre pour voir si leur conduite correspond à la clameur venue jusqu’à moi. Si c’est faux, je le reconnaîtrai. » La peur d’Abraham de voir Dieu châtier les villes de Sodome et Gomorrhe serait-elle révélatrice du combat intérieur qu’il est en train de mener dans sa relation de confiance au Seigneur ? Sa prière audacieuse d’intercession exprime bien l’épreuve de la foi qu’il est en train de vivre : Dieu sera-t-il fidèle à son Alliance de compassion envers son peuple ?

Jésus, en priant « Notre Père », introduit l’homme à de nouvelles dispositions vis-à-vis de Dieu. Il l’invite à entrer dans son humble confiance filiale. Cependant, il ne faudrait pas croire que cette attitude n’était pas présente chez l’homme biblique de l’Ancien Testament. La longue prière d’action de grâce du psaume de ce dimanche en est la preuve. « De tout mon cœur Seigneur je te rends grâce » ; « Je rends grâce à ton nom pour ton amour et ta vérité » ; « Si je marche au milieu des angoisses, tu me fais vivre » ; « Ta droite me rend vainqueur » ; « Le Seigneur fait tout pour moi ! Seigneur, éternel est ton amour »… Autant d’expressions qui manifestent la confiance en Dieu. Mais, ce qui chez le psalmiste était encore en butte à une foule d’ennemis et de tentations dans l’attente de ce que ferait le Dieu fidèle disparaît totalement dans la prière de Jésus.

En Jésus, Dieu a tenu sa promesse de salut et ce, de façon irrévocable et définitive. Dès lors, pourquoi douter de sa bienveillance paternelle envers-nous ? Dans l’évangile, Jésus nous assure que les prières que nous adresserons à notre Père seront toujours exaucées : « demandez et l’on vous donnera ; cherchez et vous trouverez ; frappez et l’on ouvrira. » Mais il est à noter qu’il ne précise pas ce que nous recevrons ou trouverons. Il nous dit seulement : « qui demande reçoit ; celui qui cherche trouve ; et pour celui qui frappe, la porte s’ouvre. » Il nous conduit ainsi à une confiance absolue en ce que Dieu non seulement nous exaucera mais nous donnera ce qu’il y a de meilleur pour nous.

Ne peut-on pas lire aussi dans ces paroles de Jésus cette autre certitude que le Donateur est plus précieux que les dons qu’il accorde ? C’est lui, le premier et le plus grand trésor que nous recevons dans notre prière.
La prière nous introduit dans la communion avec Dieu. Et nous touchons ici à l’essence de la prière « chrétienne ». Prier, c’est demeurer en présence du Dieu trois fois saint et en communion avec lui. Prier, c’est permettre à Dieu de venir habiter en nous et nous laisser transformer par lui. Peu à peu, nous retrouvons avec lui la ressemblance que le péché originel nous avait fait perdre et nous pouvons nous faire les médiateurs authentiques de son amour auprès de nos frères en humanité.
Cette communion à la vie divine nous a été rendue accessible par notre baptême par lequel nous avons reçu l’Esprit-Saint et par lequel nous sommes devenus un même être avec le Christ. Ce jour-là, le Christ est venu nous rejoindre au cœur de notre péché pour nous en libérer (Cf. Deuxième lecture). Comme il y a deux mille ans, il a franchi le seuil de la majesté divine pour nous permettre d’appeler, dans le souffle de l’Esprit, Dieu : « Notre Père ».

Comme les disciples, contemplons Jésus en prière, lui en qui s’accomplit cet échange merveilleux entre l’homme et Dieu. Nous sommes les disciples d’aujourd’hui. Laissons-nous toucher par la prière du Maître. Quand Jésus prie, il nous enseigne à prier. Contemplons et entrons à notre tour dans son humilité et sa confiance filiale envers son Père qui est aussi « Notre Père ».
Nous verrons alors que prier nous configure toujours davantage au Christ faisant de nous de véritables disciples. En effet, non seulement la prière nous filialise mais elle nous introduit aussi dans la loi de réconciliation : « Remets-nous nos dettes, comme nous les avons remises nous-mêmes à ceux qui nous devaient. » Prier nous conduira jusqu’au pardon sur la croix. A notre tour, nous reprendrons les paroles mêmes de Jésus : « Père pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ». A ce moment-là, nous serons vraiment disciples car nous serons devenus à la suite de Jésus, dans la force de son Esprit, les porteurs de la Parole de miséricorde du Père qui veut sauver tout homme.

(Frère Elie, Famille de saint Joseph)

Rugăciune

Slavă să fie lui Dumnezeu Tatăl, Fiul şi Sfântul Duh, slavă şi închinare Dumnezeului atotputernic care ne-a îngăduit să fim acum împreună pentru acest moment de rugăciune şi de adoraţie.

Suntem înaintea ta Doamne pentru a te lăuda şi pentru a-ţi mulţumi pentru toate binefacerile primite în aceste zile. Totodată îţi mulţumim şi pentru toate harurile şi darurile pe care le-ai revărsat în viaţa celor dragi ai noştri: părinţi, fraţi, surori, rude, prieteni şi cunoscuţi. Ce bine că ai pus lângă noi oameni pe care să-i iubim şi care să ne iubească. Îţi mulţumim! Te adorăm în numele lor, dar şi în numele tuturor celor care uită să te adore şi să-ţi mulţumească pentru belşugul milei tale.

Ne place să stăm în prezenţa ta. E locul în care suntem noi înşine: fără făţărnicie, fără gânduri ascunse sau intenţii false. În faţa ta suntem altfel decât în faţa oamenilor. Uneori e posibil ca în faţa oamenilor să ne prezentăm şi să ne lăudăm cu fapte pe care nu le-am făcut sau pe care nu le merităm. Aici, în faţa ta, nu e posibil. Tu ştii exact faptele noastre, şi bune şi rele şi cu ele ne prezentăm. Pe cele bune primeşte-le, de cele rele iartă-ne şi ajută-ne să nu le mai săvârşim.

În faţa oamenilor putem avea cuvinte care nu descriu tocmai realitatea sentimentelor şi gândurilor noastre, însă în faţa ta, nu… Tu ne cunoşti în profunzime şi ştii exact cuvintele şi gândurile noastre. Ştii vorbele care nu corespund realităţii şi vrei să-ţi spunem exact ce simţim, exact cum suntem, exact cum gândim. Fă să avem mereu şi în faţa ta şi în faţa oamenilor sinceritatea gândurilor, a sentimentelor şi a cuvintelor, fără a ascunde nimic din ceea ce suntem cu adevărat.

E bine să stăm înaintea ta, Isuse, Domnul şi Dumnezeul nostru, şi să-ţi prezentăm împreună cu adoraţia noastră şi cererile noastre şi mai ales să ne prezentăm şi să ne oferim pe noi înşine. Aici, acum, îngenunchiaţi, te rugăm să-ţi aminteşti de cei care suferă. De cei bolnavi. Eşti acelaşi Cristos care trecea şi vindeca orice boală şi neputinţă. Treci acum şi prin viaţa noastră, prin familiile noastre, prin casele noastre şi vindecă-i pe cei bolnavi, pe cei stăpâniţi de patimi, pe cei robiţi de păcate.

Tu eşti regele păcii, tu ştii să aduci buna înţelegere şi armonia între oameni: fii prezent în mijlocul celor certaţi, descurajaţi, dezamăgiţi şi ajută-i să ierte şi să se împace. Fă să fie pace în familiile noastre, în casele noastre, să fie pace şi bună înţelegere între prietenii noştri, în comunitatea noastră, în ţara noastră şi în lumea întreagă.

Tu eşti cel care strigi şi astăzi: „Curaj. Nu vă temeţi. Eu sunt cu voi în toate zilele până la sfârşitul lumii. Curaj. Eu am învins lumea.” Fă să răsune şi în viaţa noastră acest strigăt, să prindem curaj şi să putem înfrunta şi depăşi toate dificultăţile pe care ni le aduce viaţa: examene, suferinţe, încercări, nedreptăţi, descurajări, boli sau lipsuri. Să învingem absolut tot ceea ce parcă stă gata gata să ne doboare.

Tu eşti acelaşi care ai certat vântul şi ai spus mării: Taci! Potoleşte-te! Strigă din nou şi acum şi întinde-ţi mâna pentru a potoli urgia apelor care s-a abătut asupra ţării noastre şi asupra lumii. Fereşte-ne de orice catastrofă şi de orice rău şi vino în ajutorul celor care suferă de pe urma inundaţiilor. Dă-le curaj şi încredere. Fă-i să te simtă aproape. Înmoaie inimile celor bogaţi pentru ca să-i ajute cu generozitate şi fă ca şi noi să fim alături de ei prin toate mijloacele spirituale şi materiale pe care le avem.

Te adorăm Isuse şi te rugăm ca împreună cu scumpa ta mamă, Maria, mama noastră şi a Bisericii, să priveşti mereu spre noi şi să ne binecuvântezi. Binecuvântarea ta şi mijlocirea puternică a Sfintei Fecioare să fie şi asupra celor dragi ai noştri, asupra comunităţii şi diecezei noastre, asupra ţării noastre şi a lumii întregi.

Nu ne lăsa căci în tine este toată încrederea şi speranţa noastră. Amin

Anul Sfintei Preoţii

E mereu surprinzătoare rapiditatea cu care trece timpul. Deşi trece mereu la fel, secundă după secundă, totuşi, atunci când întâmplările sunt frumoase, clipele parcă se petrec şi ne petrec mai repede.

Astfel putem spune şi despre „Anul Sfintei Preoţii”, (19 iunie 2009 – 11 iunie 2010), an pus sub mijlocirea sfântului Ioan Maria Vianney, parohul de Ars şi patronul preoţilor. Deşi a trecut, speranţa tuturor este că şi-a atins scopul: să facă să răsune în lumea întreagă importanţa slujirii preoţeşti.

Este bine de ştiut că în acest sens au avut loc zeci de iniţiative: Liturghii speciale şi zile de adoraţie, rugăciuni şi mesaje ale Sfântului Părinte şi ale episcopilor, pelerinaje (Roma, Ars, Lourdes, Fatima, Cacica) şi întâlniri (diecezane, naţionale şi internaţionale), conferinţe şi cursuri de formare, meditaţii şi reflecţii. În acest an s-au acordat indulgenţe speciale, după cum a decretat Penitenţiaria Apostolică. Mass-media catolică au susţinut acest an prin difuzarea unor emisiuni sau prin publicarea unor cărţi sau articole despre ce înseamnă acest an şi ce înseamnă preotul şi preoţia. De asemenea au susţinut prin crearea unui sit special (www.annussacerdotalis.org). La Iaşi, anul se va încheia printr-o celebrare în care vor fi hirotoniţi mai mulţi preoţi (24).

Dar poate că toate acestea şi multe altele s-au întâmplat fără aportul nostru. Este bine, ca acum, la sfârşit, să ne întrebăm ce am făcut noi, personal, pentru acest an, pentru preoţi şi mai ales pentru chemări la sfânta preoţie. Ce a însemnat pentru mine acest timp special? Dacă până acum timpul acestui an a trecut fără nimic, e momentul să facem acum ceva, măcar o rugăciune.